Abstract

The rise of nationalist and populist movements throughout the world has led to concerns about the future of the liberal international economic order. Central to these worries is the belief that nationalist and populist publics and their leaders will reject open trade, which has been a cornerstone of the global order. Yet despite these fears, very little empirical research has been conducted on the links between either nationalism or populism and trade policy. In this paper, we argue that nationalism and populism are likely to discourage trade liberalization in democratic states, but that these forces will have little influence on trade policy in non-democracies. To test this argument, we focus on state involvement in preferential trade agreements (PTAs). Based on a variety of tests, we find considerable support for our argument. Democracies with nationalist or populist governments are especially reluctant to join PTAs, but neither nationalism nor populism systematically influences whether non-democracies enter PTAs.

El auge de los movimientos nacionalistas y populistas en todo el mundo provocó la preocupación por el futuro del orden económico internacional liberal. En el centro de estas preocupaciones está la creencia de que los públicos nacionalistas y populistas y sus líderes rechazarán el comercio abierto, que ha sido el pilar fundamental del orden mundial. Sin embargo, a pesar de estos temores, se realizaron muy pocas investigaciones empíricas sobre los vínculos entre el nacionalismo o el populismo y la política comercial. En este artículo, argumentamos que el nacionalismo y el populismo probablemente desalienten la liberalización del comercio en los Estados democráticos, pero que estas fuerzas tendrán poca influencia en la política comercial de los países no democráticos. Para comprobar este argumento, nos centramos en la participación del Estado en los arreglos comerciales preferenciales (ACPR). Basándonos en una serie de pruebas, encontramos un apoyo considerable para nuestro argumento. Las democracias con gobiernos nacionalistas o populistas son especialmente reacias a adherirse a los ACPR, pero ni el nacionalismo ni el populismo influyen de manera sistemática en que las no democracias entren en los ACPR.

L'ascension des mouvements nationalistes et populistes dans le monde entier a mené à des préoccupations concernant l'avenir de l'ordre économique international libéral. La conviction que les publics nationalistes et populistes et leurs dirigeants rejetteront le commerce ouvert, qui a été l'une des pierres angulaires de l'ordre mondial est au centre de ces préoccupations. Pourtant, malgré ces craintes, très peu de recherches ont été menées sur les liens entre le nationalisme ou le populisme et la politique commerciale. Dans cet article, nous soutenons que le nationalisme et le populisme sont susceptibles de décourager la libéralisation du commercie dans les États démocratiques, mais que ces forces auront peu d'influence sur la politique commerciale des États non démocratiques. Pour mettre cet argument à l’épreuve, nous nous sommes concentrés sur l'implication des États dans les Accords commerciaux préférentiels. Nous nous sommes basés sur diverses analyses et nous avons trouvé un soutien considérable à notre argument. Les démocraties dont les gouvernements sont nationalistes ou populistes sont particulièrement réticentes à participer aux Accords commerciaux préférentiels, mais ni le nationalisme, ni le populisme n'influencent systématiquement la participation des États non démocratiques aux Accords commerciaux préférentiels.

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